Sans foi ni loi (Texas - 1877)

Neville Robert Stanton est né dans le Missouri, de père inconnu; le père présumé est mort peu après sa naissance, abattu suite à une rixe dans un saloon. Il porte le nom de sa mère : Stanton, Mary Stanton.
David James Stanton est né dans le Missouri d'un père, représentant de commerce, mais alcoolique. Il a disparu après la naissance du petit. Il porte le nom de sa mère : Stanton, Mary Stanton.
Celle-ci ne peut pas s'occuper de ses enfants et encore moins, les éduquer. Ils sont placés, chacun, dans une famille d'honnêtes travailleurs. Ils vont à l'école.
Si Noddy est un élève attentif et studieux, Dave, quant à lui, est belliqueux et indiscipliné.
Noddy est attiré par la spiritualité tandis que Dave est attiré par le métier des armes.

Quand la guerre éclate (12 avril 1861), ils s'engagent, tout naturellement, dans l'armée confédérée.
Bien que bon tireur, Noddy répugne à tirer sur son prochain. Il va vite se faire remarquer par ses sermons et va être incorporé en qualité de révérend. Il se donne ce titre, bien qu'il n'ait jamais été ordonné, et n'hésite pas à accompagner les mourants dans leurs derniers instants, en leur donnant l'absolution. Dave ne parvient pas à supporter l'autorité militaire. Il est courageux au combat mais n'en fait qu'à sa tête. Il va rejoindre le gang du capitaine William Quantrell, qui agit en marge des armées confédérées.
Il sème la terreur au Kansas, état voisin abolitionniste. Il tue et pille sans vergogne, au point d'être déclaré hors-la-loi par le général nordiste James Totten, en avril 1862.
Le 20 août 1863, à la tête de 450 hommes, il met à feu et à sang la ville de Lawrence, tuant 182 hommes et brûlant 185 bâtiments.
Parmi ses hommes figurent Franck James, Cole et Jim Younger, ainsi que Dave Stanton.
Le 25 décembre 1863, sa bande met aussi à feu et à sang la ville de Sherman, bien que le Texas soit état confédéré.
William Anderson, son second, bien connu pour sa cruauté (il scalpe ses victimes), conteste son autorité et s'en repart, avec cinquante hommes, dans l'état du Missouri. Franck James, les frères Younger et Dave sont de ceux-là.

Dave J. Stanton :

John Elvis Ward est né également dans le Missouri. Il a fréquenté la même école que les frères Stanton.
Ils ont, d'ailleurs, décidé de s'engager ensemble dans l'armée confédérée.
Excellent cavalier, il intègre rapidement un régiment de cavalerie. Il se distingue lors de plusieurs charges et, en 1862, accèdera au grade de lieutenant. Il est remarqué et le capitaine Mosby, qui forme alors un régiment de cavalerie destiné à semer la panique à l'arrière des troupes ennemies, fait appel à lui. Cela correspond bien à son esprit d'indépendance. Il y restera jusqu'à la fin de la guerre (9 avril 1865). Il n'acceptera pas la capitulation.

Pas plus d'ailleurs que les frères Stanton, qui se retrouvent tous deux dans la bande des frères James et Younger.
Jesse James, qui a rejoint son frère, en prend la tête. Le gang va se livrer à des pillages de banques, et à des attaques de trains et de diligences. Le 7 septembre 1876, le gang attaque la banque de Northfield mais, cette fois, la population se défend efficacement et plusieurs d'entre eux sont tués et d'autres blessés, dont certains, gravement.
Ils se cachent et finissent par se séparer : les frères James partent vers l'ouest tandis que d'autres, dont Noddy et Dave, repartent vers le Missouri. Un piège leur est tendu et les frères Younger sont faits prisonniers. Noddy et Dave s'en sortent de justesse.
Il est temps de retrouver John. Il avait fait partie de la bande mais, blessé au talon dès la première attaque, s'en était retourné chez lui.
Nous sommes fin 1876.
Un message lui a été transmis par courrier. Rendez-vous est pris à Pasadena Creek, un endroit que tous trois connaissent pour y avoir établi leur cachette lorsqu'ils étaient poursuivis par les chasseurs de primes. Il s'agit de grottes tranquilles que borde une petite rivière , propice à abreuver les chevaux.
Le rendez-vous est fixé au 11 mars à 14h30.

Au jour et à l'heure dits, Noddy et Dave sont en train de préparer le café pour leur "hôte", qui ne devrait pas tarder à arriver.
Noddy a des révélations importantes à faire. John n'est pas à l'heure.

Quatre cavaliers s'avancent vers eux, les mettant en joue avec leurs carabines. Le plus jeune les interpelle :

"Je m'appelle Georges Hendricks Junior et suis le fils de Georges Hendriks, propriétaire des terres sur lesquelles vous stationnez impunément."

Neville lui répond :
"Désolé Monsieur Hendriks Junior, nous ne savions pas que ces terres étaient désormais propriété privées. Nous n'allons pas rester très longuement.
- là n'est pas le propos, je suis chargé par mon père de mettre fin à ces vols quotidiens de nos bêtes qui disparaissent par dizaines.
- je comprends bien votre inquiétude mais, voyez nos tenues, nous ne sommes absolument pas des garçons-vachers.
- vous peut-être pas, mais qui me dit que vous n'êtes pas les commanditaires de l'opération ? Vous volez nos bêtes et les revendez à notre concurrent.
- vous faites erreur, Monsieur, nous ne connaissons personne par ici et n'avons qu'une envie : repartir chez nous aussi paisiblement que nous sommes venus.
- balivernes ! Enlevez vos ceinturons et holsters et posez les à terre !
- de quel droit vous ... ?
- je fais ce que je veux sur mes terres, obéissez !"

Il se tourne vers deux de ses hommes : "Pedro et Jimmy, vous préparez la corde, on va les pendre sur place.
- mais vous êtes fou !
- ça suffit ou c'est une balle dans la tête !"

La corde leur est passée autour du cou. Leur dernère minute est arrivée. Ils ont échappé tant de fois à la mort que celle-ci leur paraît particulièrement absurde.
Les deux hommes n'ont pas le temps de rejoindre leur monture que trois coups de feu successifs les clouent au sol, morts.
Le quatrième rate de peu sa cible. Le jeune Georges Hendriks s'est pris ue balle dans la cuisse, ce qui a pour effet de le désarçonner.
Un cavalier arrive à bride abattue ; c'est John, bien sûr.
"Désolé les gars, je suis un peu en retard à notre rendez-vous?
- hé hé, pour une fois, on ne t'en voudra pas vieux frère.
- attention, il y en a un qui bouge encore !
Hendriks :
- Messieurs, messieurs, je suis blessé, aidez-moi, ramenez-moi chez mon père, il a beaucoup d'argent, vous pouvez être riches.
J'ai mal, je crois que j'ai une balle dans la cuisse, je ne peux pas me relever.
Je ne veux pas mourir, je suis fils unique et je n'ai que 25 ans !"

Noddy se tourne vers son frère : "Dave, à toi de jouer, tu as repris la main." Il éclate de rire.
On entend alors une détonation, qui résonne dans les grottes avoisinantes. Une balle dans la tête.

Dans le milieu des gangs, personne ne connaissait leur nom.
Même chez le James/Younger, on les surnommait : "le rebelle, le tueur et le rérérend"...

La tronche, la tenue (du bon matos bgt je pense ?)... J'adore !
Tu vas continuer et représenter les frères James et Younger ?

Une belle tête de hors la loi, les fringues qui vont bien et l'histoire en prime.

Le jeune Georges Hendriks c'est l'arroseur arrosé... Tel est pris qui croyait prendre...ou pendre


Mon chasseur de prime va se mettre en chasse pour tenter de gagner quelques dollars de plus

Neville s'adresse alors à ses deux comparses.
"Je vous ai réunis parce que j'ai besoin de vous. Mais, avant tout, je me dois de vous narrer cette histoire qui remonte à la fin de cette guerre qu'on a appelée Guerre de Sécession, guerre qui a opposé durant quatre ans les Etats du sud à ceux du nord.
Nous sommes début avril 1865. A force confesser les blessés et les mourants, je tombais sur une information de première main.
A l'article de la mort, un officier me confia qu'un convoi composé de trois chariots devait quitter notre camp en direction du Mexique, via le Texas. Chacun des chariots contenait, parmi les effets personnels des membres de l'escorte, une malle énorme, entièrement scellée.
Chacune contenait une quantité incroyable de pièces d'or, tout l'or que les sudistes avaient volé aux nordistes durant toutes ces années de guerre. Il s'agissait de passer au Mexique puis de reconstituer une armée qui repasserait la frontière pour réengager le combat après la capitulation.
Le lendemain à l'aube, le convoi s'ébranlait et j'en profitai pour déserter. Vêtu de vêtements civils, je m'étais mis en tête de suivre le convoi, ne sachant toutefois pas comment faire pour le piller.
La capitulation du Sud fut signée peu de temps après.
Nous avons, ainsi, traversé l'Oklahoma avant de nous engager au Texas.
L'entreprise était en passe de réussir quand, peu avant le passage de la frontière, nous vimes surgir au galop un régiment de cavalerie nordiste. Sans doute la cavale avait été éventée et les unionistes entendaient bien mettre la main sur ce trésor inespéré. Toujours en civil, je laissai passer cette folle cavalcade.
Le convoi perçut, de loin, cet écran de poussière qui ne présageait rien de bon. Il prit la fuite mais ne pouvait rivaliser en vitesse.
Il approcha alors d'un cimetière. Chose peu courante, celui-ci était entièrement clos de murs et avait l"avantage de pouvoir se clore à l'aide d'un lourd portail métallique.
Le convoi tout entier s'y engouffra et s'y enferma. Conscients de leur infériorité numérique, ils étaient à peine cinquante hommes face à un régiment de cavalerie, les confédérés prirent le parti d'enterrer les caisses d'or et de ne laisser aucune trace.
Ils furent pris de court car une seule caisse fut enterrée; le portail avait été emporté et les cavaliers sabraient à tout va les derniers défenseurs du cimetière. Autant dire que, dans les deux camps, on ne faisait pas de quartier. Je fus témoin du massacre.
Les nordistes trouvèrent deux caisses et pensèrent avoir récupéré leur magot.
Ils s'empressèrent de quitter les lieux.
Les habitants du village voisin creusèrent une fosse commune dans laquelle ils engloutirent tous ces cadavres.
Toutefois, l'un d'eux, se mit à pousser des gémissements. Il était blessé au bas-ventre mais les nordistes l'avaient laissé pour mort.
J'étais présent lorsqu'il fut transporté au village et soigné à l'aide d'onguents et autres mixtures.
En ma qualité de révérend, je portais toujours un crucifix sur moi, je manifestais mon intention d'accompagner cet homme jusqu'à sa guérison. J'ai même dit la messe à plusieurs reprises et confessé la moitié du village. Pour la plupart, des mexicains qui s'étaient établis ici en espérant trouver du travail dans les fermes avoisinantes.
- mais comment savais-tu qu'une malle avait été enterrée ?
- parce que j'étais là quand les ventres bleus ont découvert le deux autres malles. Il en manquait une mais les gris l'avaient bien enterrée. Mais dans quelle tombe ? Il y en avait plus de deux cents ! Mon seul espoir était ce rescapé du cimetière. J'entrepris de le questionner. Cela se fit pa étape. Je lui rendais visite chaque jour. Il revint à lui. Il mangeait et pouvait à nouveau parler.".

"Alors mon brave, on peut dire que vous revenez de loin.
- pourquoi ?
- parce que tous vos compagnons ont été tués, il n'y a pas eu de prisonniers.
- ah bon ?
- oui, vous ne vous souvnez pas ?
- c'est encore un peu flou.
- alors, reprenons dans l'ordre : comment vous appelez-vous ?
- Lawrence F. Mask et j'étais caporal dans un régiment de cavalerie mais je ne sais plus lequel.
- vous auriez mérité d'être officier sans doute ?
- oui, car je me suis battu vaillament mais je ne sais ni lire ni écrire".

Plus tard, son état de santé s'était un peu aggravé.
"Mon fils, vous savez que je suis prêtre et aussi que vous vivez vos derniers instants. J'irai droit au but. Vous avez enterré une malle remplie d'or dans le cimetière d'à côté. Vous savez bien que je n'en toucherai pas une once mais que cet or pourrait servir à la reconstruction de notre pays, tellement meurtri par cette maudite guerre.
- comment vous savez que c'est moi qui a (sic) fait le trou ?
- ah bon ? c'est vous ?
- ben ouais que c'est moi et je sais même le nom de la tombe mais mon pays, je m'en fiche, il a perdu la guerre.
- songez alors à toutes ses veuves éplorées et à ces orphelins qui ne connaîtront jamais leur père.
- m'en fous, j'ai pas de femme et pas d'enfant.
- d'accord, mais l'Eglise a besoin de fonds pour rebâtir ses édifices détruits par ces damnés rascals.
- je ne suis pas croyant !
- bon, çà suffit maintenant, tu vas mourir d'ici moins d'une heure ! Au nom de Dieu tout puissant, tu vas me dire le nom inscrit sur cette tombe. Je t'absoudrai de tous tes péchés !"

Je le secouais vivement en même temps car je sentais qu'il allait partir. Il me fit signe d'approcher mon oreille :
"Je vais vous dire le nom..."

Merci beaucoup pour vos commentaires.
Le matériel provient de la figurine tirée du jeu Dead red redemption.
Le matos BGT est commandé pour faire, non pas le James/Younger, mais Neville et John, les deux autres protagonsites d l'histoire.
Il possède deux colts. On en aperçoit un sur cette photo.

L'ami Saint Clair nous propose le film de l'été et c'est un western...

Connaissant son gout pour les dioramas démesurés, je m'attends à voir arriver un chariot, une horde d'indiens regardant les visages pales s’entretuer, le saloon, etc, etc...

Ce premier personnage est déja de haute volée, il sait créer l'ambiance...

mon cher jmh, mais que dire si ce n'est que le feuilleton de l'été démarre et que tout cela va être sanglant.
Je pense ne pas trop charger le décor et me concentrer sur les trois personnages qui vont  nourrir les épisodes. Revenons, justement, au récit que nous fait Neville, le plus âgé des trois.

"Juste avant son dernier soupir, l'homme me dit : la tombe au couchant, le soleil plonge dessus à vingt heures précises". Et puis il s'est tu. En effet, à vingt heures le soleil dardait ses rayons sur une tombe située sur la cinquième rangée côté est.
Je creusais fébrilement mais ne trouvais rien ! Soit l'homme avait menti, soit il s'était trompé. Je décidais de retourner le voir car, pour tout dire, je lui avais fait croire qu'il allait mourir alors que ce n'était pas le cas. Il s'était simplement évanoui; son état de santé s'était amélioré. Je retournais au village. Et là, on m'apprit que le sieur Lawrence F. Mask s'en était allé en empruntant un cheval aux villageois.
Je partis à sa poursuite mais ne parvint pas à le retrouver. Je pense qu'il avait dû se dissimuler quelque temps dans les montagnes de l'Arkansas voisin, avant de venir rechercher son butin.
- et alors, qu'est-il devenu ?
-eh bien, justement, alors que j'étais parti rejoindre la bande de Jesse James, j'ai incidemment découvert, l'année dernière,  que Mister Mask était installé, sous son nom, à Bâton rouge, dans l'état voisin de la Louisiane. Il y mène grand train. Il possède le plus grand saloon de la ville, avec ses quarante chambres. Il a aussi installé sa maîtresse, une certaine Rosie Palmer, qui se fait appeler Miss Bunny, à la tête d'une maison close florissante et possède aussi le plus grand ranch de la région.
- comment va t-on faire pour le coincer ?
- j'y réfléchis, les enfants, j'y réfléchis.
- il doit être bougrement bien protégé.
- en effet, je me suis rendu sur place à plusieurs reprises et je peux vous dire que l'affaire ne sera pas facile. Il a toujours avec lui ses deux gardes du corps : les deux Franck. Le premier est un ancien zouave qui a combattu vaillament dans les rangs de l'Union. Il sait manier les armes. Le second, que le patron appelle Roger, a sur la conscience plus de morts que nous tous réunis.
- comment cela ?
- il a tué des milliers de gens sans avoir jamais vu le blanc de leurs yeux; il était capitaine dans l'artillerie nordiste et, croyez-moi, il sait viser. Il va falloir les éliminer et c'est pourquoi on ne sera pas trop de trois. Bien plus, toute la ville est à sa botte. Le maire, un certain Turnpike, a été élu dans des conditions pas forcément très démocratiques. C'est un ancien homme de main de Mask.
Quant au shérif, un certain Chesterfield, il ne vaut pas mieux. Il faudra s'en méfier car il tient la ville sous sa coupe. Les étrangers n'y sont pas les bienvenus.
- alors, comment faire?
- j'ai mon idée : nous allons l'attirer dans son ranch. Il possède plus de 200 chevaux et j'ai fabriqué une fausse lettre de mission signée du général Ulysses S. Grant, me nommant pour acheter des chevaux pour la cavalerie de l'Union. Une fois au ranch, on élimine les Franck et on l'embarque pour une ballade au crépuscule (rires). Mais attention, il nous faudra tromper la vigilance du maître des lieux, un prussien, qui a fait la guerre de 1870 contre les français. Il est responsable du haras et tire vite et juste avec son vieux fusil qu'il a restauré. Son nom est compliqué, tout le monde l'appelle jmh." En fait, c'est Junge Mann Hübsche.

Hé Hé

Très Très GRAND BONJOUR A Vous Tous Les AMIS Du Colt Et De La Winchester

Très Très Bien Ca Du WESTERN Tout Ce Que J'AIME

Te Connaissant Un Peu, Tu Vas Très Certainement Changer Les Bottes De Plastoc, Contre Des Cuirs, Ainsi Que Le Chapeau Je Suppose!!

Bien Entendu, Mise En Scène Et Posture Des Personnages, C'Est Toi Qui Gère

Toi Mon AMIS CHRISTIAN GÉNÉRAL De SAINT CLAIR , Qui Me Rappel Que Je M'Éparpille Et M'Égare Dans Plusieurs Directions De Sujets FIGURINES ,

L'AMI MASQUE Se Délecte De Te Faire Savoir Qu'Il En Ai Autant Pour Toi

MASQUE QUI TIRE Plus Vite Qu'Il Ne Fait De FIGURINES !!

C'est à dire qu'au moment des élections, on manquait de bulletins de vote...
Alors on a fait ça à mains levées

C'est bien ce que je pensais, à mainlevée, avec les hommes de MASK qui avaient la main sur leur revolver

Tout à fait !
Rapide et efficace

Je tiens a préciser que les forces de l ordre etaient la pour s assurer de la bonne tenue de l election. Ce qui a ete le cas

Superbe figurine et impressionnante mise en perspective.
J attend la suite de ce feuilleton de l ete avec gourmandise

Bruno

Cette histoire sent la poudre

J espere que ce ne sera pas la poudre d escampete

Bruno

Magnifique figurine que je n'aimerai pas croiser dans le rue...
Et avec un cours d'histoire faisant glacer le sang en prime.

Bravo!!!

Hé Hé

Très Très GRAND BONJOUR A Vous Les Les Hors La Loi

Oui, Le MASK a toujours La Main Droite Sur Son Revolver Colt 45 SAA Surnommé "PECEMAKER" (Le PACIFICATEUR Ou Le REDRESSEUR DE TORTS) !! Et Dans L'Autre Main Une Carabine HENRY De 1860 En 44 Henry, Capacité 16 Cartouches

MASQUE Armé Jusqu'Aux Dents !!

Eh bien, les petits amis du 1/6ème, ne partez pas car, pour votre plus grand plaisir, l'histoire, qui promet d'être sanglante, continue.
Et Neville de faire quelques recommandations.

"Je répète que les deux Frank, dont Roger, sont fins tireurs et bien armés.
Il faudra, dans un premier temps, les éviter, bien qu'ils ne soient jamais bien loin de leur patron. On les éliminera dans un deuxième temps. Seuls John et moi entrerons dans le saloon. Toi, Dave, tu te posteras à la sortie de Bâton rouge, là où nous passerons forcément, pour quitter la ville, si l'affaire tourne mal. On aura les deux Frank aux trousses et tu les abattras.
- OK, Noddy, c'est toi qui décides.
- nous nous rendrons au comptoir; et là, fais gaffe, pas un mot, pas un geste qui pourraient nous trahir. En face de nous, le barman s'appelle Ronald V. Gwen. Sous ses airs affables, c'est un dangereux. Ses flingues sont rangés sous le comptoir. Il est entièrement dévoué à Mask et se ferait tuer pour lui. Si on est en mauvaise posture, c'est lui qu'il faut tuer en premier, cela évitera de l'avoir dans le dos quand on fera face aux deux Frank. Je m'en charge personnellement tandis que toi, John, tu élimines les deux autres. Mais bon, j'espère ne pas en arriver là. Le but est de rencontrer Mask et de l'emmener avec nous. Mais, pas de violence inutile.
Mais, attention, il est aussi bien armé : il ne quitte jamais son Peacemaker et son fusil Henry
Et il est très malin. Je ne sais pas s'il va gober cette histoire d'achat de chevaux pour le compte de l'armée des Etats-Unis.
- ne penses-tu pas qu'il va te reconnaître ? Il t'a vu lorsque tu lui as extorqué des informations sur la tombe.
- la plupart du temps, il était plutôt mal en point et a rarement ouvert les yeux même quand je lui parlais. Ce serait bien le diable qu'il ait gardé un souvenir de moi. Il me croit même sans doute mort. Bon, sur ce, en selle !
- et que fait-on des cadavres de ces pauvres bougres ?
- on n'en fait rien, ces salopards pourriront sur place et feront bien l'affaire des vautours. Allez- on y va !

AHHHHH les photos en extérieur!!! Quand on a un beau décors, du Savoir faire de belles prises de vues , et qu'en plus on a le talent de SAINT CLAIR, Hé ben on obtient ça, une vrai bouffée d'air chauuuud de l' Ouest Américain qui me rappel perso, les excellents Westen du Mardi Soir dans la Dernière Séance de Mr Eddy Mitchell... oui oui je sais je ne suis pas tout jeune en tout cas ta réalisation est de toute beauté et le COW BOY comme sa monture son MAGNIFIQUE !! BRAVO et ça mérite un verre au Saloon du Coin...

Murphy pour tes propos à la fois fort élogieux et très encourageants.
Tu fais référence à La dernière séance, pour les grands classiques du western mais, personnellement, je suis fan des westerns de Sergio Leone.
Tu vas, à ton tour, participer à l'aventure.
Quel rôle te conviendrait le mieux ? Officier dans l'armée nordiste ? Ou médecin à Bâton rouge ?
Il y a encore quelques rôles à distribuer dont un de tueur à gages. Si tu es tenté ?

Et aussi à rvgwen, qui a déjà trouvé son rôle dans cette série.

Moi aussi j'ai un petit faible pour la version spaghettis.

Mais je ne veux pas mourir ....Ou au moins pas d'une balle dans le dos.

A la rigueur un duel qui a du panache, dans la rue principale avec tous les braves gens qui observent planqués derrière leurs fenêtres ...
Et bien sur une bande son d'Ennio Morricone

Signé: Roger

PS: Wikipédia « Roger » ou « Roger that » est une expression de la phraséologie de l'aviation anglophone synonyme de copy ou copy that signifiant « J'ai reçu la totalité de votre message »

Je suis vraiment désolé mais le scénario prévoit la mort de Frank, que son patron appelle "Roger" dans des conditions qui ne sont pas très glorieuses. Je vais quand même réfléchir à revoir le scénario mais c'est un peu compliqué.

Pour moi, Roger, c'est : affirmatif !

On est rarement maitre de son destin, et puis le titre c'est bien : Sans foi ni loi ...

Alors en tant que Roger je dis: Fais ce que tu dois, advienne que pourra.

En tant que Secutor : Alea jacta est

En tant que Franck: C'est parti mon kiki

Ça va saigner…

Je le crains fort !!!

En route pour Bâton rouge :