En 1967 le Biafra, un état de la République Fédérale de la Nigeria proclama son indépendance.
Le Biafra enrôla pour ses forces improvisées aussi armées des mercenaires; quelques-uns d'eux vous trouvèrent non seulement un travail, mais aussi une cause, en les battant pour le leader de la nouvelle nation, Chukwuemeka Odumegwu Ojukwu.
Entre ces mercenaires il y avait le sergent ancien de la Légion Étranger Rolf Steiner, qu'il organisa le meilleur rayon biafrano combattant, la Quatrième Brigade Commando. Pour son adresse sur le champ, et pour ses victoires, Steiner fut reçu colonel, même s'il fut expulsé par le Biafra successivement.
Quand, après trois ans de siège, le Biafra se rendit, Ojukwu.andò en exil.
Peu ans il semble après, que quelques mercenaires aient tenté un coup d'état pour le porter au pouvoir en Sierra Lion. Le bailleur de fonds Frederick Forsith semblait être, lui aussi fidèle au leader africain, que de cet événement il aurait tiré le roman "LES dogues de la guerre."
Entre les mort de guerre mercenaires pour la liberté du Biafra il y avait l'ancien "Incursore" de la Marine Militaire Giorgio Norbiatto, déjà vétéran du Congo.
L'artiste Pino Caruso a écrit une ballade sur les mercenaires de ces ans:
Je sui mort dans le Katanga venait de Lucera
j'avais quarante ans et la bague noire;
de moi les gens disent seulement seulement que je suis avec les mercenaires
pour butin pour argent,
mais maintenant que je suis étendu vous regardez dans mon sac
il y a seulement une bouteille et une once de tabac.
Vous chercherez argent en vain dans la panetière
je les ai dépensés vraiment tous avec les puttaines.
Vive ma mort, vive la jeunesse, lailalalailalailalalailala...
J'aimais un entreineuse de race congolaise,
mais je l'ai perdu aux dés avec Jimmy l'Irlandais;
je sauvai religieuses et moines, du bûcher du rebelle
mais l'Onu il se frotte il en brûle ma peau;
si ma peau brûle il est parce que son mercenaire
mais le Pape il en se frotte et il écosse son chapelet.
Vive ma mort, vive la jeunesse…
Adieu mes amies des fleurs dans les cheveux
adieu copines douces connues dans les bordels,
adieu collines vertes descendent la nuit maintenant,
les feux sont éteints, adieu doux putains.
Avec vos guépiere j'ai fait un drapeau,
la aux amis qui vieillissent au Lucera.
Vive ma mort, vive la jeunesse…
Si je restais là à la maison dans mon Lucera,
maintenant je serais arrivé avec les fils,
j'aurais la femme grasse, les versements et la Six-cents,
salon, télévision, mutuelle et je double menton.
Je suis par contre allé en tour pour le monde
et je suis en train de crever maintenant ici dans le bas Congo.
Vive la mort mes hourra la jeunesse…
Au guerriers, un peu de saints et un peu bandits, cette action figure , qu'il serre entre les mains une vieille mitraillette, une bouteille et une once de tabac, est dédiée, ed à Fabrizio Quattrocchi, mercenaire en Iraq ( je te fais voir comme un Italien meurt)
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Mazariol
(excusez pour le traducteur automatique)