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| Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) | |
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+8francky08 arnoww2 ladaboy MIKE ltnkzn fabrizio MASQUE Saint Clair 12 participants | |
Auteur | Message |
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merlinharley77
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 19:44 | |
| Ne crois pas que nous avions oublié ton cavalier chargeant les 2 scottish mais il y a déjà évolution entre ces 2 là je trouves. allez, la suite Merluche. |
| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 20:35 | |
| Les troupes russes trainent, dans leur sillage, des cavaliers issus de peuples nomades que les cosaques eux-mêmes, qualifient de "demi-sauvages". Venus du fond des steppes de l'Oural et des confins de l'Asie, ils combattent aux côtés des russes, sans toutefois, se mélanger avec eux. Ils font des ravages sur l'arrière des colonnes françaises en train de retraiter, abattant indistinctement hommes et chevaux avec leurs flèches acérées. Le général Thiebault a fait leur connaissance, bien avant la campagne de Russie, je situe l'action lors dela signature de la paix de Tilsitt, dans des circonstances que je lui laisse le soin de vous narrer : "J'appris que de l'autre côté du Niémen se trouvait un camp de Cosaques, un camp de Kalmouks et un camp de Baskirs. Je m'informai si quelques généraux français étaient allés les visiter, on me répondit qu'on s'en abstenait. Je demandai si cela était défendu, on me dit qu'il n'existait à cet égard aucun ordre; je pris donc à l'instant une barque et, en redingote bourgeoise et chapeau rond, accompagné seulement de mon secrétaire, je passai le fleuve. J'avais à peine mis pied à terre qu'un officier vint me demander de la part du général commandant les Cosaques réguliers du Don, campés en face du pavillon des deux Empereurs, qui j'étais et ce que je voulais. Je me nommai et je répondis que, par un simple mouvement de curiosité, je désirais visiter le camp des Kalmouks et des Baskirs. Un moment après, cet officier revint, suivi de quatre Cosaques et d'un brigadier et me dit : "Mon général, en vous offrant ses compliments, vous fait savoir que vous êtes absolument le maître de faire cette promenade; mais, comme vous pourriez courir quelques risques au milieu de ces hordes à moitié sauvages, il m'a chargé de vous amener une garde d'honneur et de sûreté et même, de vous accompagner." Et je partis avec mon escorte et on espèce d'aide de camp cosaque. Les Baskirs sont beaucoup plus blancs qe les Kalmouks, leur figure est fine et leurs yeux obliques leur donnent un petit air de bêtes fauves qui leur sied à merveille. leur camp, formé de deux rangées de petits auvents ouverts du côté de la rue et bien alignés, était propre et symétrique. leurs armes, consistant en lances, arcs, flèches et sabres, étaient arrangées en faisceaux ou accrochées à leurs auvents, auxquels leurs chevaux étaient attachés; quelques uns possédaient des pistolets mais en mauvais état. Leur accoutrement était à peu de chose près celui des Cosaques irréguliers, mais de couleurs plus claires. La plupart avait des manteaux, plusieurs des cotes de mailles dont ils étaient assez fiers pour me les montrer. Presque tous étaient coiffés d'une calotte en fer garnie d'une pointe." Plus loin dans le texte : "Leur nourriture, en temps de guerre je suppose, n'est ni sensuelle ni variée; ils la préparent eux-mêmes et chacun pour soi. Elle consiste généralement en pâte et en viande. La pâte est faite de farine et d'eau sans levain et divisée en petites boulettes grosses comme une noix de muscade, mal arrondies, séchées au soleil; ils ont toujours un ou deux sacs remplis de ces boulettes et pendus à leurs arçons pour en manger quand la faim se fait sentir. Quant à leur viande, on ne peut pas rappeler sans dégoût la manière dont ils la préparent; ils la mettent à nu sur l'échiné de leurs chevaux, la recouvrent d'une couverte, grimpent dessus et la font, non pas cuire, mais meurtrir par une course au galop, pendant une ou deux lieues; ainsi chauffée de leur propre chaleur et de celle du cheval dont elle a bu la sueur, ils trouvent à cette viande un goût délicieux. Eh bien, cette vomitique nourriture fait, par bénéfice de frugalité et de sobriété, des hommes forts, agiles, bien portants, propres aux plus grandes fatigues, et qui supportent nuit et jour toutes les températures des saisons. Je voulus savoir quel était le degré de leur habileté dans le tir à l'arc et je leur fis demander si, à cent pas, ils seraient de force à toucher un écu de cinq francs, les prévenant que celui qui l'aurait touché l'aurait gagné. A l'extrémité d'une baguette de trois à quatre pieds, on fit une entaille, on y ficha l'écu puis on planta la baguette en terre à la distance dite. le second qui tira l'abattit; je fournis un deuxième écu, il fut gagné du premier coup; j'en donnais un troisième et il le fut au troisième; je m'en tins là." Plus loin, on peut lire : "Comme j'allais quitter ces messieurs (deux officiers russes et des chevaliers gardes) et les Baskirs, pour ne pas les revoir, m'étant arrêté un moment pour jeter un dernier regard sur leur camp et sur ceux qui m'avaient suivi, l'un deux arriva jusqu'à moi et, en se retirant bien vite, donna un petit coup sur les breloques de ma montre. Je sus par Delaveau (son secrétaire qui parlait couramment le Kalmouk, note de Saint Clair) qu'il désirait voir ma montre, que je tirai et que j'approchai de lui pour qu'il pût bien l'examiner. Il la regarda avec avidité et, pendant qu'il penchait son oreille pour mieux entendre le mouvement, je la fis sonner. La surprise fut complète; sans cesser de porter successivement les yeux de ma montre à moi et de moi à ma montre, il demanda à Delaveau si elle était à vendre. - Oui, répndis-je. - Combien ? - Deux cent cinquante sequins. A ces mots, sa figure devint furieuse et il s'en alla, en frappant sur son arc et ses flèches et en disant : voilà avec quoi je la paierai ! A-t-il jamais satisfait sa convoitise ? J'espère que non car si le hasard lui en a fourni l'occasion, il a dû, au souvenir de cette montre, viser bien des officiers." _________________ |
| | | merlinharley77
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 20:54 | |
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| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 20:59 | |
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| | | merlinharley77
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 21:07 | |
| whaa ! + de photos .........égoïste !!! |
| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 21:10 | |
| Cela vient mon Merlin : Photo prise un peu vite, pas eu le temps de soigner le décor derrière |
| | | MIKE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 21:22 | |
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| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 21:23 | |
| J'ai rajouté de la neige sur le personnage et c'est bizarre, mais on ne voit pas bien la patine sur les bottes et sur le tapis de selle. Yeux rougis, poils du chat pour les moustaches, j'espère qu'il ne manque rien : Autre vue : |
| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Mer 10 Avr 2013 - 22:40 | |
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| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 9:52 | |
| Merci beaucoup Mike pour ton élogieuse appréciation.
J'espérais que personne ne viendrait me rechercher là-dessus. C'était sans compter sur l'oeil acéré de Mister MASQUE qui me dit qu'il manque le cerclage des roues ! Il est vraiqu'un simple coup de pinceau ne saurait suffire. Je fabriquerai quelque chose qui ressemble à du métal, mais difficile à faire croire qu'il s'est cassé; une pliure devrait suffire. A ma connaissance, ces cavaliers avaient des selles sommaires, seulement des peaux et tapis, et pas d'étriers. Quant aux flèches, elles apparaissent, mais on les voit peu, dans le carquois à droite du cavalier. A gauche se situe sa sacoche porte-arc.
Comme demandé par Monsieur MASQUE, voici la suite des aventures de nos personnages : comme vous l'avez remarqué, l'un des deux n'est autre que Bruce Willis, qui a accepté ce rôle dans le film de M. Saint Clair, dont le titre est un clin d'oeil au "Belle journée pour mourir" actuellement sur vos écrans. Donc, on peut supposer que BW va s'en sortir alors que son voisin va recevoir une flèche mortelle. Mais qu'en sera-t-il à l'arrivée d'un second cavalier Baskir ? Prévue ce week-end... |
| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 10:15 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 12:30 | |
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| | | ladaboy
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 14:04 | |
| Wow, il a de la personnalité ton cosaque (réaliste à souhait avec la travail entrepris sur la hs...Ca rajoute de l'intensité au dio...Tip top... |
| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 19:23 | |
| A nouveau MERCI les amis ! Vous voulez que je vous dise ? Je viens de passer une journée d'enfer. Et là, je déouvre vos messages : j'ai l'impressionde passer dans une autre dimension, de passer de la réalité au un/sixième. De la part d'un pro comme le Zouave, je ne sais plus quoi dire, j'ai l'impression d'être meilleur que je ne suis; en tout cas, je repars gonflé à bloc ! Merci mon Franck, tu ne seras pas déçu de la suite Et je tiendrai compte de toutes vos observations, cerclage compris ! Car Monsieur MASQUE est une référence, je n'ai pas intérêt à le décevoir, surtout avec mon grade de général en chef de la documentation napoléonienne. ladaboy : ce n'est pas un Cosaque mais un Baskir ! Ce n'est pas tout à fait pareil car les Cosaques considéraient ces derniers comme des moitiés de sauvages |
| | | merlinharley77
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Jeu 11 Avr 2013 - 19:27 | |
| Et bien dis donc... c'est vraiment bien. Certes il y a des choses à faire mais ça... il y en a toujours !! Le cheval n'est pas top sur tous les points (et on sait qu'un bon cheval est rarissime) mais.. il a une pose vraiment super intéressante. le cavalier à une HS bien typée et bravo pour les 'stachs. Pour mieux voir les flèches , mets un peu de papier dans le fond du carquois. merluchon |
| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Ven 12 Avr 2013 - 16:16 | |
| D'accord Merlinou (voilà que je m'autorise quelques familiarités). J'avais acheté ce cheval en raison d'une posture très réaliste. Les chevaux des Baskirs sont laids. Celui-là a l'air aussi méchant que son maître. Une petite question : c'est quoi les stachs ? |
| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Ven 12 Avr 2013 - 16:38 | |
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| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Ven 12 Avr 2013 - 16:42 | |
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| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Ven 12 Avr 2013 - 18:49 | |
| Mais que peut bien nous réserver Monsieur MASQUE ? Un pantalon de hussard ! Cela promet pour la suite ... |
| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Ven 12 Avr 2013 - 18:57 | |
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| | | Saint Clair
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Lun 15 Avr 2013 - 11:59 | |
| Le général Marbot a eu l'occasion d'être confronté aux Baskirs; il nous livre ici son témoignage. "Pendant notre séjour sur le plateau de Pilnitz, les ennemis, surtout les Russes, reçurent de nombreux renforts, dont le principal, conduit par le général Benningsen, ne comptait pas moins de 60.000 hommes et se composait des corps de Doctoroff, de celui de Tolstoï et de la réserve du Prince Labanoff. Cette réserve venait d'au-delà de Moscou et comptait dans ses rangs une très grande quantité de Tartares et de Baskirs, armés seulement d'arcs et de flèches. Je n'ai jamais compris dans quel but le gouvernement russe amenait d'aussi loin et à grands frais, de telles masses de cavaliers irréguliers qui n'ayant ni sabre, lance, ni aucune espèce d'arme à feu, ne pouvaient résister à des troupes réglées et ne servaient qu'à épuiser le pays et à affamer les corps réguliers, les seuls capables de résister à des ennemis européens. Nos soldats ne furent nullement étonnés à la vue de ces Asiatiques à demi sauvages qu'ils surnommaient les Amours, à, cause de leurs arcs et de leurs flèches ! Néanmoins, ces nouveaux venus, qui ne connaissaient pas encore les Français, avaient été si exaltés par leurs chefs, presque aussi ignorants qu'eux, qu'ils s'attendaient à nous voir fuir à leur approche. Il leur tardait donc de nous joindre. Aussi, dès le jour même de leur arrivée devant nos troupes, ils se lancèrent en bandes innombrables sur elles. Mais, ayant été reçus partout à coup de fusil ou de mousqueton, les Baskirs laissèrent un grand nombre de morts sur le terrain. Ces pertes, loin de calmer leur frénésie, semblèrent les animer encore davantage car, marchant sans ordre, et tous les passages leur étant bons, ils voltigeaient sans cesse autour de nous comme des essaims de guêpes, se glissaient partout, et il devenait fort difficile de les joindre. Mais aussi, quand nos cavaliers y parvenaient, ils en faisaient d'affreux massacres, nos lances et nos sabres ayant une immense supériorité sur leurs flèches ! Comme on se disposait à retourner à Pilnitz, nous aperçumes un millier de Baskirs qui accouraient vers nous de toute la vitesse de leurs petits chevaux tartares. L'Empereur, qui n'avait pas encore vu des troupes de ce genre, s'arrêta sur un monticule, en demandant qu'on tachât de faire quelques prisonniers. {Marbot s'acquitta parfaitement de la mission et ramena une trentaine de Baskirs} Je les fis conduire auprès de l'Empereur qui, après les avoir examinés, manifesta l'étonnement que lui faisait éprouver la vue de ces piteux cavaliers qu'on envoyait, sans autres armes qu'un arc et des flèches, combattre des guerriers européens munis de sabres, de lances, de fusils et de pistolets." Marbot veut sans doute dire "piteux combattants" plutôt que "piteux cavaliers" car les Baskirs étaient excellents cavaliers, ne faisant qu'un avec leur monture sur laquelle ils s'endormaient parfois. (note de Saint Clair) Durant la bataille de Leipzig, Marbot raconte : "En un clin d'oeil, les barbares entourèrent à grands cris nos escadrons contre lesquels ils lancèrent des milliers de flèches, qui ne nous causèrent que très peu de pertes, parce que les Baskirs, étant totalement irréguliers, ne savent pas se former en rangs et marchent tumultueusement comme un troupeau de moutons. Il résulte de ce désordre que ces cavaliers ne peuvent tirer horizontalement devant eux sans tuer ou blesser ceux de leurs camarades qui les précèdent. Les Baskirs lancent donc leurs flèches paraboliquement, c'est-à-dire en l'air, en leur faisant décrire une courbe plus ou moins grande, selon qu'ils jugent que l'ennemi est plus ou moins éloigné; mais cette manière de lancer les projectiles ne permettant pas de viser exactement pendant le combat, les neuf dixièmes de flèches s'égarent et le petit nombre de celles qui atteignent les ennemis ayant usé pour s'élever en l'air presque toute la force d'impulsion que la détente de l'arc leur avait communiquée, il ne leur reste plus en tombant que celle de leur propre poids, qui est bien faible; aussi ne font-elles ordinairement que de très fort légères blessures. Enfin, les Baskirs n'ayant aucune arme, c'est incontestablement la troupe la moins dangereuse qui existe au monde. Cependant, comme ils arrivaient sur nous par myriades et que plus on tuait de ces guêpes, plus il en survivait, l'immense quantité de flèches dont ils couvraient l'air devait nécessairement, dans le nombre, faire quelques blessures graves; ainsi, un de mes plus braves sous-officiers légionnaire, nommé Meslin, eut le corps traversé par une flèche qui, entrée par la poitrine, lui sortait dans le dos. L'intrépide Meslin, prenant la flèche à deux mains, la cassa et arracha lui-même les deux tronçons de son corps, ce qui ne put le sauver : il succomba peu d'instants après. C'est, je crois, le seul exemple de mort que l'on puisse citer à la suite d'un coup de flèche tirée par un Baskir. Mais j'eux plusieurs hommes et chevaux atteints et fut moi-même blessé par cette arme ridicule. J'avais le sabre à la main; je donnai des ordres à un officier et j'étendais le bras pour lui indiquer le point vers lequel il devait se diriger, lorsque je sentis mon sabre arrêté par une résistance étrange et j'éprouvai une légère douleur à la cuisse droite, dans laquelle était implantée d'un pouce dans les chairs une flèche de quatre pieds de long dont l'ardeur du combat m'avait empêché de sentir le coup. Je la fis extraire par le docteur Parot et placer dans une des caisses de l'ambulance régimentaire, car je voulais la conserver comme monument curieux; je regrette qu'elle se soit égarée." On dit que les chevaux des Baskirs étaient très laids. Voici ce qu'étaient leurs chevaux : |
| | | Saint Clair
| Sujet: Les renforts arrivent, mais pas du bon côté ! Lun 15 Avr 2013 - 12:03 | |
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| | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Lun 15 Avr 2013 - 18:16 | |
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| | | Saint Clair
| | | | MASQUE
| Sujet: Re: Sale journée pour mourir (Russie - 2 décembre 1812) Lun 15 Avr 2013 - 20:44 | |
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